Analyse de l'actualité et du box-office cinématographique
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2015-12-30T14:38:19+00:00
DotClear
daily
1
2015-12-30T14:38:19+00:00
The graduate:
2015-12-30T14:38:19+00:00
tag:cinefeed.com,2015-12-30:/286
Jérôme
Apprentissage sexuel
femme d'age mur
initiation, quête de soi, transgression
réalisation soignée, plan dérangeant. tout est dans la suggestion
point de vu de benjamin, on voit ce qu'il voit (cf. seins)
Dustin Hoffman pas si jeune puisqu'il a déja 30 ans et qu'il joue le rôle d'un homme de...
Apprentissage sexuel
femme d'age mur
initiation, quête de soi, transgression
réalisation soignée, plan dérangeant. tout est dans la suggestion
point de vu de benjamin, on voit ce qu'il voit (cf. seins)
Dustin Hoffman pas si jeune puisqu'il a déja 30 ans et qu'il joue le rôle d'un homme de 20ans et anne bancroft pas si agée puisqu'elle n'a que 36 ans alors qu'elle joue le rôle d'une femme de 45ans
hoffman jeune premier, pas connu
plan comme des tableaux: la caméra est posée, point de vu d'un protagoniste. Beaucoup de jeu d'ombre
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12 years a slave
2014-02-25T15:38:59+00:00
tag:cinefeed.com,2014-02-25:/1393
Julie Buk Lament
Â
l'avis deJulie
Il n'y a bien que des temps forts dans ce long, beau et douloureux film de Steeve Mc Queen. Derrière la petite histoire (celle d'un homme, Solomon Northup, redevenant esclave, après avoir été enlevé et vendu de force par des négriers à des exploitants de coton dans le Sud des Etats-Unis, à la première moitié du 19 ème siècle ) et la grande (celle de l'esclavage, de la condition du peuple noir aux Etats-Unis au 19ème siècle), il y a la description de ce que peut être l'homme.
<table width="550">
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<td><img src="http://www.cinefriends.com/images/affiche/4/9/twelve-years-a-slave-16.jpg" alt="" width="120"></td>
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<td>l'avis<br> de<br />Julie</td>
<td><img src="http://www.cinefeed.com/images/u5.jpg" alt=""> </td></tr></table><br />
Il n'y a bien que des temps forts dans ce long, beau et douloureux film de Steeve Mc Queen. Derrière la petite histoire (celle d'un homme, Solomon Northup, redevenant esclave, après avoir été enlevé et vendu de force par des négriers à des exploitants de coton dans le Sud des Etats-Unis, à la première moitié du 19 ème siècle ) et la grande (celle de l'esclavage, de la condition du peuple noir aux Etats-Unis au 19ème siècle), il y a la description de ce que peut être l'homme.<br /> Il y a d'abord le courage et la patiente qu'incarne Solomon Northup. Il y a l'indicible cruauté et la folie qui habitent Epps (le second maître de Solomon incarné par Michael Fassbender qui est magistral dans ce rôle de maître fou). Il y a la lâcheté expliquée par la peur qui conduit certains à la résignation (comme Ford, le premier maître de Solomon, interprété par Benedict Cumberbatch). Il y a la peur tétanisante (celle subie de manière consubstantielle par les esclaves) et l'humiliation dans laquelle ces derniers sont plongés inexorablement. Il y a, tout simplement, la méchanceté, dans toute sa laideur (la galerie des personnages incarnant ce mal primaire est malheureusement édifiante). Alors que le Nord a aboli l'esclavage, le Sud est encore plongé dans l'horreur de la traite des noirs. Les hommes blancs croient détenir le pouvoir sur d'autres hommes parce qu'ils sont noirs. Le pouvoir de tuer, d'humilier, de battre à mort, de violer, de torturer, de martyriser. Les maîtres à la tête des plantations règnent sur leurs esclaves de manière absolue, dans le sang et la folie. Le vert des cannes à sucre et le soleil de Louisiane peinent à masquer les allures de camps de travail (pour ne pas dire autre chose) que sont ces plantations.<br />
12 years a Slave fait ressentir pendant 2h15 aux spectateurs beaucoup de sensations: dégoûts, crainte, peur, effarement, frayeur, tristesse, honte. La honte absolue. 1850. C'était presque hier. Et pourtant, l'on croyait alors que certains hommes n'avaient pas plus de valeur que les choses. L'anéantissement de ce que peut être l'Homme, sa beauté, son âme est inexplicable. Et l'on assiste à cet effroyable spectacle. Je repense à certaines images qui m'ont marquée. Il y a d'abord une image, la première, celle d'une mère que l'on sépare de ses enfants et qui sombre dans un désarroi absolu. Je repense à Solomon restant pendu sous nos yeux pendant un quart d'heure et qui parvient à petits coups de pied sur le sol à ne pas se laisser balancer dans le vide. Je repense au soleil qui brûle alors le ciel chaud d'une belle après midi d'été. Aux enfants qui jouent autour de lui. A la beauté de la végétation. A cet homme que personne ne vient détacher et qui semble perdu. Je revois également cette jolie esclave, Patsey, battue incessamment pendant plusieurs longues minutes et à son dos qui, à force de coups de fouet, finit par ressembler à de la viande lacérée.<br />
Je pense que l'homme a été alors un bourreau, qu'on n'a pas su l'arrêter immédiatement et qu'on l'a laissé exercer un pouvoir de vie et de mort sur d'autres hommes. Mais je me dis surtout que les témoignages de cette période n'ont pas empêché d'autres atrocités et d'autres catastrophes humaines, plus tard.<br />
<hr />
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American Bluff
2014-02-25T14:26:02+00:00
tag:cinefeed.com,2014-02-25:/1392
Julie Buk Lament
Â
l'avis deJulie
Ce film est assez déroutant, il a l'énergie d'un Casino, Amy Addams n'ayant rien à envier à Sharon Stone. La mise en scène a l'efficacité d'un Ocean Eleven. Les acteurs jouent à la perfection (évidemment mention spéciale à Christian Bale), dirigés par un réalisateur qui n'a plus rien à prouver (Silver Linings playbook l'année dernière, The Fighter un peu avant) et qui sait fidéliser sa jolie troupe (Christian Bale, Jennifer Lawrence, Bradley Cooper).
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<td><img src="http://www.cinefriends.com/images/affiche/11/13/american-hustle-12.jpg" alt="" width="120"></td>
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<td>l'avis<br> de<br />Julie</td>
<td><img src="http://www.cinefeed.com/images/u3-4.jpg" alt=""> </td></tr></table><br />
Ce film est assez déroutant, il a l'énergie d'un Casino, Amy Addams n'ayant rien à envier à Sharon Stone. La mise en scène a l'efficacité d'un Ocean Eleven. Les acteurs jouent à la perfection (évidemment mention spéciale à Christian Bale), dirigés par un réalisateur qui n'a plus rien à prouver (Silver Linings playbook l'année dernière, The Fighter un peu avant) et qui sait fidéliser sa jolie troupe (Christian Bale, Jennifer Lawrence, Bradley Cooper). J'aurais aimé adorer American Bluff qui nous renvoie quelques décennies en arrière en recréant magnifiquement une ambiance seventies. J'aurais aimé vous dire que le dernier film de David O Russell est aussi abouti que ses deux précédents et qu'il mériterait autant d'égards à la grande soirée des oscars.<br />
Mais si American Bluff a les apparences d'un excellent film, il reste un film sympathique, dynamique. Il brasse beaucoup beaucoup d'images pour... pas une si grande chose. Autrement dit, l'intrigue, après avoir emporté le spectateur la première moitié, s'essouffle.
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Blue Jasmine: une autre femme
2013-10-02T21:49:57+00:00
tag:cinefeed.com,2013-10-02:/1391
Julie Buk Lament
Â
l'avis deJulie
Près de 15 mois sans écrire une ligne. L'envie de partager avec vous, Chers lecteurs, mon avis sur certains films n'a pourtant pas disparu pendant ce long laps de temps. Je choisis le dernier film du grand Woody Allen pour livrer ces quelques lignes. Ce choix n'est pas anodin. Car ceux qui sont déjà venus par ici savent que parmi le panthéon de mes films préférés figure Interiors, l'un des meilleurs films offerts par Woody Allen. Blue Jasmine m'a fait penser à Interiors. Une bonne dose d'angoisse et d'introspection en moins. Sans être toutefois léger, le dernier film de l'auteur plonge, une fois encore, dans les méandres de la mélancolie et de la dépression d'une femme.
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<td>l'avis<br> de<br />Julie</td>
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Près de 15 mois sans écrire une ligne. L'envie de partager avec vous, Chers lecteurs, mon avis sur certains films n'a pourtant pas disparu pendant ce long laps de temps. Je choisis le dernier film du grand Woody Allen pour livrer ces quelques lignes. Ce choix n'est pas anodin. Car ceux qui sont déjà venus par ici savent que parmi le panthéon de mes films préférés figure Interiors, l'un des meilleurs films offerts par Woody Allen. Blue Jasmine m'a fait penser à Interiors. Une bonne dose d'angoisse et d'introspection en moins. Sans être toutefois léger, le dernier film de l'auteur plonge, une fois encore, dans les méandres de la mélancolie et de la dépression d'une femme. Jasmine (Kate Blanchett est à la fois sublime et effrayante dans ce rôle de névrosée), la quarantaine approchante, atterrit à San Francisco, les valises Vuitton sous les bras et débarque chez sa soeur qui l'accueille dans un modeste appartement qu'elle occupe avec ses deux enfants. Jasmine, on le comprend bien vite, est seule, fraîchement séparée de son mari, qu'elle a aimé, qui lui a tout offert, et n'a nulle part où aller. Elle est angoissée, névrosée, snobe, a l'allure de Grace Kelly et parle seule. Elle est dopée au Xanax et peine à respirer. Elle semble venir tout droit des Hamptons en ayant fait un détour par Park Avenue. C'est presque vrai. Mais Jasmine avant son dernier week end à South Hampton et d'avoir abandonné son appartement new yorkais de l'Upper East Side, a vécu un court instant à Brooklyn, a dû revendre ses vêtements et ses bijoux de chez van Cleef. Elle échoue sur la côte californienne après que son mari a été arrêté pour des fraudes multiples qu'il a commises pendant des années. <br />
Les tranches de vie de la femme abandonnée se superposent de manière désordonnée, le passé et le présent se côtoient tour à tout pour nous faire comprendre l'étoffe dont est faite Jasmine. Peu à peu le passé doré se ternit pour nous faire comprendre la dépression dans laquelle la femme a sombré. Jasmine est de celles qui, à la roulette de la vie, placent tous leurs pions sur le même numéro et la même couleur, en l'occurrence leur mari. C'est en cela que le personnage de Jasmine m'a fait penser à celui de Eve, d'Interiors. Woody Allen dénonce, je pense, la dépendance de celles qui ne croient pas en elles, qui passent de l'autorité du père à celle d'un homme. J'y ai vu, peut être à tort, un plaidoyer pour l'indépendance des femmes ou plutôt une critique du conte de fées dans lequel beaucoup d'entre elles placent encore trop d'espoir. Lorsque Jasmine est abandonnée par son mari, son monde s'écroule, elle n'est plus rien. Son carcan monolithique s'effrite petit à petit pour devenir poussière. On comprend qu'elle aurait préféré rester dans le leurre de son mariage en feignant de ne voir ni les maîtresses qui gravitent autour de son mari ni l'argent sale lui permettant de se vêtir plutôt que d'apprendre la vérité. <br />Woody Allen, s'il sublime Jasmine (elle apparaît belle et beige, sa pâleur soulage, sa silhouette fait l'effet d'une mousseline se mouvant avec le vent. Bref, c'est tout un poème...) porte un regard plein de pitié sur la femme, parfois même sans concession. Il ne nous la fait pas aimer un seul instant. A côté de Jasmine, il nous impose une autre figure féminine, celle de la soeur, cette fois avec beaucoup plus d'empathie. Et si cette dernière n'a pu s'affranchir d'un monde machiste persistant, elle a cherché, à la différence de Jasmine, à gagner son indépendance en travaillant. Les deux femmes n'ont pas l'intelligence habituelle des personnages féminins du réalisateur. <br />
Avec son dernier film, Woody Allen renoue avec des thèmes qu'on lui sait chers. Amoureux des femmes, de tout type de femmes, il signe là un manifeste pour leur indépendance. Les hommes qu'il dépeint sont machistes, menteurs, joueurs, alcooliques, peloteurs ou encore idiots. Aucun d'eux n'a grâce à ses yeux. La peinture qu'il livre de la nature humaine est peut être un peu trop simplifiée. On est un peu loin des belles intellectuelles de Manhattan qui tiennent tête à leurs maris stupides et obsédés. Une chose est sûre, pour moi, c'est que Woody Allen n'est jamais autant à l'aise que sur son territoire new yorkais (même si celui-ci s'étend cette fois beaucoup à l'Ouest). Je le remercie sincèrement d'avoir quitté la vieille Europe et d'avoir cessé de la magnifier. Les êtres humains qu'ils aient le sang espagnol, anglais, français ou américain ont en définitive toujours les mêmes problèmes. Je constate toutefois que dans ses derniers films dits "européens" les femmes étaient sexy, belles, indépendantes et intelligentes et qu'à l'occasion de son retour sur le sol américain il a choisi de nous raconter l'histoire d'une snobe dépressive dépendante affectivement.<br />
<hr>
<a href="http://www.cinefriends.com/film/blue-jasmine">Mini-fiche de Blue Jasmine</a><br /><br />
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Tant de choses à faire et si peu de temps #2
2013-03-25T18:13:37+00:00
tag:cinefeed.com,2013-03-25:/1389
Jérôme
Je crois que ce n'est pas la première fois qu'un article à un tel titre mais je n'ai pas réussi à en trouver un mieux... Depuis de trop nombreux mois ce blog est à l'abandon et avec Julie on se dit très souvent que c'est dommage d'avoir tenu tant de temps et d'abandonner maintenant. Il faut lui...
Je crois que ce n'est pas la première fois qu'un article à un tel titre mais je n'ai pas réussi à en trouver un mieux... Depuis de trop nombreux mois ce blog est à l'abandon et avec <a href="http://www.juliebuklament.fr">Julie</a> on se dit très souvent que c'est dommage d'avoir tenu tant de temps et d'abandonner maintenant. Il faut lui trouver un énième souffle afin que cinefeed continue à vivre et surtout parce que cela nous permet d'écrire sur ce qui est tellement important pour nous : LE CINEMA !<br />
En attendant nos sommes (un peu) sur twitter : <a href="http://twitter.com/jlament">Jérôme</a> et <a href="http://twitter.com/jbuklament">Julie</a>, n'hésitez pas à nous contacter cela fait toujours plaisir...<br />
En vrac : <br />
<strong>Mobius</strong>: très décevant même si les intention de Rochant étaient louables.<br />
<strong>Spring Breakers</strong>: expérimental, déroutant, intéressant.<br />
<strong>40 ans mode d'emploi</strong>: drôle, amer et tellement vrai.<br />
<strong>Zero Dark Thirty</strong>: maîtrisé, un bon film mais pas un grand film<br />
<strong>Hitchcock</strong>: tout naze<br />
<strong>Sugar Man</strong>: génial, à ne pas rater !<br />
L'Hebdo des blogs ciné S06E08
2012-12-16T10:07:38+00:00
tag:cinefeed.com,2012-12-16:/1388
Jérôme
Le bilan de cette rentrée blogosphérique est très proche du néant et j'en suis désolé. Voici toutefois les articles de mes amis blogueurs et j'en profite pour vous dire que si vous avez un jeune enfant courez voir Ernest et Célestine magnifique dessin animé à l'ancienne.
MyScreens : L'Odyssée de...
Le bilan de cette rentrée blogosphérique est très proche du néant et j'en suis désolé. Voici toutefois les articles de mes amis blogueurs et j'en profite pour vous dire que si vous avez un jeune enfant courez voir <strong>Ernest et Célestine</strong> magnifique dessin animé à l'ancienne.<br />
<a href="http://myscreens.fr/2012/cinema/lodyssee-de-pi-critique/">MyScreens : L'Odyssée de Pi, Ang Lee, raconte-moi une histoire</a><br />
<a href="http://blogywoodland.blogspot.fr/2012/12/hobbit-trip-13-lechappee-des-hobbits.html">Cineblogywood : Hobbit Trip (1/3) - l'échappée des Hobbits</a><br />
<a href="http://www.filmosphere.com/movie-review/critique-django-unchained-quentin-tarantino-2012/">Filmosphere : Django Unchained, il était une fois Quentin Tarantino</a><br />
L'Hebdo des blogs ciné S06E07
2012-12-09T09:34:01+00:00
tag:cinefeed.com,2012-12-09:/1387
Jérôme
En attendant de débarquer sur les écrans le Hobbit fait l'actualité chez nos amis blogueurs...
Cineblogywood : EXCLU - Mais Qui a Re-Tué Pamela Rose ? Le tournage du trailer
MyScreens - Le Hobbit, le voyage attendu et qui ne déçoit pas
Filmosphere : Le Hobbit, le retour du roi Jackson...
En attendant de débarquer sur les écrans le Hobbit fait l'actualité chez nos amis blogueurs...<br />
<a href="http://blogywoodland.blogspot.fr/2012/12/exclu-mais-qui-re-tue-pamela-rose-le.html">Cineblogywood : EXCLU - Mais Qui a Re-Tué Pamela Rose ? Le tournage du trailer</a><br />
<a href="http://myscreens.fr/2012/cinema/le-hobbit-un-voyage-inattendu-critique/">MyScreens - Le Hobbit, le voyage attendu et qui ne déçoit pas</a><br />
<a href="http://www.filmosphere.com/movie-review/critique-le-hobbit-un-voyage-inattendu-peter-jackson-2012/">Filmosphere : Le Hobbit, le retour du roi Jackson</a><br />
<a href="http://www.cinefriends.com/actualites/nouveau-clash-entre-omar-sy-et-les-kaira/14563">Cinefriends : Nouveau clash entre Omar Sy et les Kaira</a><br />
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L'Hebdo des blogs ciné S06E06
2012-11-25T09:52:56+00:00
tag:cinefeed.com,2012-11-25:/1385
Jérôme
Nouvel hebdo cette semaine qui n'arrive toujours pas à prendre son rythme de croisière. Voici néanmoins un peu de lecture qui vous occupera les temps mort d'un dimanche de novembre...
Cineblogywood : Spielberg et De Palma en repérage dans un sauna gay
MyScreens : en plein dans le PIFFF...
Nouvel hebdo cette semaine qui n'arrive toujours pas à prendre son rythme de croisière. Voici néanmoins un peu de lecture qui vous occupera les temps mort d'un dimanche de novembre...<br />
<a href="http://blogywoodland.blogspot.fr/2012/11/spielberg-et-de-palma-en-reperage-dans.html">Cineblogywood : Spielberg et De Palma en repérage dans un sauna gay</a><br />
<a href="http://myscreens.fr/2012/cinema/pifff-2012-1re-partie/">MyScreens : en plein dans le PIFFF</a><br />
<a href="http://www.filmosphere.com/movie-review/critique-dragon-gate-la-legende-des-sabres-volants-tsui-hark-2011/">Filmosphere : Dragon Gate, la 3D domptée par Tsui Hark</a><br />
<a href="http://www.cinefriends.com/actualites/shia-labeouf-ne-jouera-finalement-pas-dans-triple-nine/14351">Cinefriends : Shia Labeouf ne jouera finalement pas dans triple nine</a>
L'Hebdo des blogs ciné S06E05
2012-11-11T10:20:01+00:00
tag:cinefeed.com,2012-11-11:/1384
Jérôme
Cinefeed n'est toujours pas réactivé mais la publication de l'hébdo des blogs ciné chaque semaine me fait prendre conscience chaque semaine qu'il serait grand temps de m'y remettre ! En attendant un peu de lecture...
- Cineblogywood : PHOTO EXCLU - Fred Cavayé fait son Mea Culpa
- Filmosphere :...
Cinefeed n'est toujours pas réactivé mais la publication de l'hébdo des blogs ciné chaque semaine me fait prendre conscience chaque semaine qu'il serait grand temps de m'y remettre ! En attendant un peu de lecture...<br />
- <a href="http://blogywoodland.blogspot.fr/2012/11/photo-exclu-fred-cavaye-fait-son-mea.html">Cineblogywood : PHOTO EXCLU - Fred Cavayé fait son Mea Culpa</a><br />
- <a href="http://www.filmosphere.com/2012/11/the-grandmasters-le-wing-chun-par-wong-kar-wai/">Filmosphere : The Grandmaster - le wing chun par Wong Kar Wai</a><br />
- <a href="http://myscreens.fr/2012/cinema/culte-du-dimanche-le-crime-etait-presque-parfait/">MyScreens : le film culte : Le Crime était presque parfait</a><br />
- <a href="http://www.cinefriends.com/actualites/mark-wahlberg-au-casting-de-transformers-4/14155">Cinefriends : Mark Wahlberg au casting de Transformers 4</a><br />
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L'Hebdo des blogs ciné S06E04
2012-10-28T09:13:36+00:00
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Jérôme
Cette semaine dans l'hebdo des blogs on fête le grand retour de FlorianL. Il ne me reste plus qu'à mettre à jour la base de données pour pouvoir recommencer à publier les chiffres de la semaine pour que notre bonheur soit complet !
Filmgeek : Critique du film Argo
Cineblogywood : The King of New...
Cette semaine dans l'hebdo des blogs on fête le grand retour de <strong>FlorianL</strong>. Il ne me reste plus qu'à mettre à jour la base de données pour pouvoir recommencer à publier les chiffres de la semaine pour que notre bonheur soit complet !<br />
<a href="http://filmgeek.fr/2012/10/22/critique-du-film-argo/">Filmgeek : Critique du film Argo</a><br />
<a href="http://blogywoodland.blogspot.fr/2012/10/the-king-of-new-york-mon-royaume-pour.html">Cineblogywood : The King of New York - Mon royaume pour un gun</a><br />
<a href="http://myscreens.fr/2012/cinema/looper-critique/">MyScreens : Looper - retour bluffant à la SF</a><br />
<a href="http://www.filmosphere.com/movie-review/critique-anna-karenine-joe-wright-2012/">Filmosphere : Anna Karenine, et Joe Wright réinventa Tolstoï.</a><br />
<a href="http://www.cinefriends.com/actualites/tele-gaucho-premiers-teasers-et-affiche/13952">Cinefriends : Télé Gaucho, premiers teasers</a><br />